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    LES CYGNES

    LES CYGNES

    LES CYGNES

    LES CYGNES

    Le cygne trompette (Cygnus buccinator) est l'un des plus grands cygnes originaires d'Amérique du Nord.

    Cet oiseau a un plumage blanc, un long cou, un bec court et noir qui s'étend jusqu'aux yeux et de courtes pattes noires. Son envergure peut atteindre 3 mètres. Les cygneaux ont un duvet gris qui devient plumage blanc après la première année.

    Le nom de cygne trompette vient du cri que l'oiseau pousse et qui ressemble au son d'une trompette.

    Le cygne trompette était présent à l'origine dans l'Amérique du Nord tout entière mais a été chassé jusqu'à sa presque extinction au début du XXe siècle.


    Originaire d'Amérique du Sud le cygne à cou noir ne peut être confondu avec aucun de ses cousins européens. De taille plus petite que le tuberculé, il s'en différencie, comme son nom l'indique, par son cou et sa tête entièrement noirs. Une mince ligne horizontale souligne l'oeil. Le bec bleu gris au bout pâle est surmonté d'un gros tubercule rouge vif moins important chez la femelle. Le corps et les ailes sont blancs. Les pattes sont roses.

    Le cygne est un symbole de lumière dans beaucoup de cultures du monde. Dans le shamanism, le totem du cygne est associé à l'amour, à l'inspiration, à l'intuition, à la grâce et à la beauté. Étant un oiseau aquatique, il est également associé aux émotions et à la spiritualité.

    Les cygnes sont monogames et fidèles, et symbolisent l'amour éternel.

     

     


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  • HENRI DE TOULOUSE-LAUTREC

    Peintre et lithographe français-  (1864-1901) 

     

     

    Henri  de Toulouse-Lautrec est un peintre et lithographe français, avec beaucoup d'esprit , il aimait à dire : Je boirai du lait quand les vaches brouteront du raisin.

     

    Henri de Toulouse Lautrec est né dans l'une des plus vieilles familles de France, descendant en effet en droite ligne des comtes de Toulouse . Il eut une enfance heureuse auprès de sa mère qui s'était séparée auparavant de son père, jusqu'au moment moment ou par suite de la consanguinité de ses parents, il souffrit d'une maladie qui affectait le développement des os. Sa constitution osseuse était faible et entre mai

    1878 et août 1879, il souffrit d'une fracture au fémur à chaque jambe qui l'empêcha de grandir davantage et ne lui permit d'avoir une taille d'1.52m. On essaya de le guérir  au moyen de décharges électriques et en lui plaçant à chaque pied une grande quantité de plomb. s

     

    Son tronc était d'une taille normale mais sa tète avait des lèvres et un nez épais, il bavait et zezayait en parlant. Des yeux noirs achevaient d'en faire un nabot grotesque.  

    En Juillet 1881 Henri échoue au baccalauréat à Paris mais est reçu à Toulouse à la session d'Octobre. C'est alors qu'il décide de devenir artiste. Soutenu par son oncle , il finit par convaincre sa mère. 

     

    Incapable de participer aux activités qu'un corps normal aurait permises, Toulouse-Lautrec vécut pour son art, il devint un peintre du post-impressionnisme, un illustrateur de l'art nouveau, et un remarquable litho-graphiste, il a croqué le mode de vie de la bohème parisienne à la fin du XIX siècle. Au milieu des années 1890 il a contribué par des illustrations,    on le considérait comme ” l'âme de Montmartre” . Ses peinture dépeignent la vie au Moulin Rouge et dans d'autres cabarets et théâtres montmartrois ou parisiens ainsi que dans les maisons closes qu'il fréquentait ( et ou peut être il contracta la syphillis).

     

    Toulouse Lautrec donnait des cours de peinture, et il encouragea les efforts de Suzanne Valadon un de ses modèles qui fut probablement sa maîtresse.

     

    Alcoolique pendant la plus grande partie de sa vie d'adulte il entra dans un sanatorium peu avant sa mort à Malromé, à la suite des complications dues à l'alcoolisme et à la syphilis, à près de 37 ans. Ses derniers mots furent ” vieil d'imbéciles” adressés à son père  qui était présent au moment de sa mort: 

     

    On dit que Toulouse Lautrec est un artiste génial dont les remarquables capacités d'observation se sont accompagnées d'une sympathie profonde envers l'humanité. Il n'a jamais laissé voir quelque regret que ce fut en raison de sa difformité. Il vécut sa vie pleinement se fit de nombreux amis et fut toujours accepte malgré sa taille étriquée.

     

    SON ART : malgré une vie courte et marquée par la maladie, l'oeuvre du peintre fut très vaste, le catalogue pratiquement complet de ses oeuvres énumérés 737 peintures, 275 aquarelles, 369 lithographies et environ 5000 dessins.

     

    Dans sa jeunesse les chevaux constituaient pour lui un sujet habituel, depuis l'enfance il aimait l'équitation et devoir y renoncer à cause de sa maladie fut pour lui quelque chose de très douloureux, et c'est pourquoi il décida de continuer à faire vivre dans ses oeuvres sa passion pour les chevaux.

     

    Au debout de sa carrière, il peignit quelques nus masculins comme exercices mais ses meilleurs nus représentent des femmes, en général il préférait partir d'ébauches mais beaucoup de ses nus doivent avoir été faits d'après nature. D'habitude ses modèles ne sont pas de belles jeunes filles mais des femmes qui commencent à vieillir. Pour peindre ce genre de tableaux, il s'inspirait d'Edgar Degas.  Il ne cessait de dessiner, quelques dessins sont des oeuvres en eux mêmes, mais beaucoup sont des ébauches pour des peintures ou des lithographies. Quelquefois ses dessins ressemblaient à des caricatures qui, en quelques traits, rendaient un geste ou une expression

    SES CITATIONS :

    " L'automne est le printemps de l'hiver"

    "Quand on dit qu'on se fout de quelque chose, c'est qu'on ne s'en fout pas " ...

     

     


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  • c'est une maison bleue ...

     

    C'est une maison bleue
    Adossée à la colline
    On y vient à pied, on ne frappe pas
    Ceux qui vivent là, ont jeté la clé
    On se retrouve ensemble
    Après des années de route
    Et l'on vient s'asseoir autour du repas
    Tout le monde est là, à cinq heures du soir
    San Francisco s'embrume
    San Francisco s'allume
    San Francisco, où êtes vous
    Liza et Luc, Sylvia, attendez-moi

    Nageant dans le brouillard
    Enlacés, roulant dans l'herbe
    On écoutera Tom à la guitare
    Phil à la kena, jusqu'à la nuit noire
    Un autre arrivera
    Pour nous dire des nouvelles
    D'un qui reviendra dans un an ou deux
    Puisqu'il est heureux, on s'endormira
    San Francisco se lève
    San Francisco se lève
    San Francisco ! où êtes vous
    Liza et Luc, Sylvia, attendez-moi

    C'est une maison bleue
    Accrochée à ma mémoire
    On y vient à pied, on ne frappe pas
    Ceux qui vivent là, ont jeté la clef
    Peuplée de cheveux longs
    De grands lits et de musique
    Peuplée de lumière, et peuplée de fous
    Elle sera dernière à rester debout
    Si San Francisco s'effondre
    Si San Francisco s'effondre
    San Francisco ! Où êtes vous
    Liza et Luc, Sylvia, attendez-moi

    MAXIME LEFORESTIER


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  • La nature est omniprésente dans notre environnempent et en nous mêmes. Elle constitue un lien immuable entre les deux... Les taoîstes  considéraient les fleuves et les cours d'eau s'écoulant librement comme le symbole d'une vie harmonieuse. Des siècles plus tard,les romantiques trouvent dans la nature sauvage un correctif essentiel à l'artificialité et au formalisme désormais implantés dans la société.

     

    Le paysage satisfait le sens esthétique d'une part, et d'autre part nous décelons  les enchevêtrements complexes de l'horloge, en reprenant la célèbre formulation de Voltaire... Quelque part, au milieu de ce spectre, le " splendide" laisse la place à '"l'impressionnant " et au " subime"........ l

     

    RETOUR AUX SOURCES

     

    Il est sain et nécessaire pour nous de retourner à la tere et à la contemplation de ses beautés pour connaître l'émerveillement et l'humilité.

    RACHEL CARSON

     

     

     


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    LE SILENCE DES MOTS

    LE SILENCE DES MOTS

    Si seulement il existait des mots
    qui sauraient te raconter,
    je trouverais les plus beaux
    ceux qui ne peuvent rien briser.

    Je les placerais devant toi
    sur une tendre mélodie
    et ils t'exprimeraient ce que moi
    je n'ai encore jamais dit.

    De ta tendresse et de ta douceur
    ils sont le lien qui nous unit
    car j'y ai trouvé dans ton coeur
    un amour infini.

    Pourquoi donc cette solitude
    d'un coeur qui a tant souffert,
    vient blesser les habitudes
    comme si elles ne savaient que faire.

    Ce matin je pense à toi
    et les mots dansent devant mes yeux,
    j'aimerais être dans tes bras
    plus un seul mot rien que nous deux.

    Dans le silence de chaque mot
    il y a tant de paroles et d'amour
    que tout ce que mon coeur trouve beau,
    grandit à chaque jour.

    (Auteur inconnu)

     


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