• LA MÉDECINE PSYCHOSOMATIQUE -  " la somme des parties ne constitue pas le tout " LAO TSEU

     

    Deux vieilles rengaines forment le point de départ de cette médecine au nom étrange, mais qui engage probablement l’avenir de la thérapeutique.  " Le moral influence le physique " et  "le corps agit sur l’esprit ". Voila deux refrains aussi vieux que le monde, mais orchestrés aujourd’hui par des neurologues, des psychiatres, des médecins, des psychanalystes…. Médecins de l’avenir probablement à la suite des recherches acharnées de tous ceux qui luttent contre la souffrance, et de tous ceux qui savent que les souffrances névrotiques peuvent être aussi atroces que les douleurs physiques. Dans cette médecine, un grand seigneur ….le cerveau, viscère comme un autre, mais viscère prodigieux, produisant le  » moral » et tout ce qui s’ y rattache. En plus de cela, l’inquietant système nerveux , reliant le cerveau, les viscères et les tissus comme une gigantesque toile d’araignée

    . Pourquoi une cause psychique peut elle produire des troubles physiques parfois mortels ? Pourquoi des complexes anciens peuvent t-ils aboutir à l’ulcère, à l’estomac ou à la néphrite ? Pourquoi la puissance d’une idée suggéree par l’hypnotisme peut elle faire apparaitre des phenomenes physiques comme des cloques ou des stigmates? La psychologie doit – elle parfois remplacer la table d’opération ? On parle des phènomenes de suggestion, d’hypnotisme, de  " maladies imaginaires " d’inconscient …. Mais on les examine souvent sans savoir qu’ils ne sont pas désincarnés mais aussi physiologique que le fonctionnement du foie. Et si les deux rengaines anciennes ont traversé les siècles pour aboutir enfin à une explication scientifique et à la santé future de millions d’hommes , il vaut la peine de les examer.

     QU’EST CE QU UN MALADE ? C’est une personne c’est évident.0n a parfois tardé à s’en apercevoir, cependant…. Un malade est donc une personne , ce n’est ni un numéro, ni un simple organe détraqué. Voici le malade qui se présente chez le medecion ou chez le psychologue. Il est donc nécessaire de trouver la maladie. Mais qui est cette personne ? C 'est un être humain avec toute une histoire .Derrière cet être, se deroule une vie entière. Dans son passé existent des milliers de circonstances physiques et pyschologiques conscientes ou inconscientes…

     Il y’a son hérédité, qui le conditionne d’une certaine façon. Il y’a son temperament , son éducation, ses parents, ses professeurs, son milieu social,son milieu religieux, ses emplois, ses réussites, ses échecs. Il y’eut l’enfance, l’adolescence, les adaptations, les inadaptations, la sexualité, le mariage. Il existe donc dans le passé de cette personne un immense faisceau de circonstances , qui convergent vers  " aujourd’hui ", c’est à dire vers le moment ou la personne dit  " je suis malade "

    Il s’agit donc :

    a) de déceler le symptome

    b)de tenter d’en préciser la cause**

    c)d’appliquer le traitement correspondant.;. Mais est ce suffisant ? Parfois oui , dans bien des cas non. Car trop souvent on divise l’être humain en une serie de pièces détachées.

     On examine une de ces pieces sans essayer de preciser ses relations avec le restant de l’organisme. Et malgré de spectaculaires résultats, de nombreuses maladies demeurent inexplicables. Les névroses en savent quelque chose; on a trop tendance à déclarer  " vous n’avez rien, ni lésions, ni troubles réels, donc vous n’etes pas malade »  -  A une autre personne , on enleve les ovaires, l’utérus, la vésicule, les amygdales alors que cette personne est névrotique et qu’une simple psychanalyse l’eut probablement sauvée de ces mutilations.

    C ette manière de faire n’empeche pas le développement effrayant de névroses et autres maladies, physiques ou psychologiques, avec leur cortege de souffrances solitaires, incomprises et parfois méprisé/

    LA MEDECINE PSYCHOSOMATIQUE


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  • A l'école on apprend l'histoire, la géographie, les mathématiques, le français, le dessin et la gymnastique.. Qu'apprend -t-on sur l'affectivité ? Rien ! rien sur comment intervenir quand un conflit se déclenche dans  un ascenseur, rien sur le deuil, rien sur la maîtrise de la peur, rien sur l'expression saine de la colère;

    Quatre vingt dix pour cent de notre vie quotidienne est passée sous silence. Ne serait-il pas aussi utile de recevoir quelques notions sur la conscience de soi et le codage des émotions, que de connaître les rois de France ?

    Pour réussir , le Q.I. ne suffit pas, nous le vivons tous à l'école ou dans l'entreprise, ce qui fait la différence ce ne sont pas seulement nos compétences techniques mais la capacité à gérer nos affects et à communiquer..

    Il y'a des lois dans la communication, des connaissances qu'on peut acquérir, des savoir-faire à épanouir. Le langage des émotions a une grammaire. Animer une réunion , parler en public, vaincre la timidité, répondre à l'agressivité, s'affirmer,donner son avis, écouter, comprendre les réactions d'autrui, pleurer, faire face à l'adversité et au changement , résoudre des conflits .....

    Dans le cadre de la formation continue, les séminaires des relations humaines offrent aujourd'hui de multiples occasions de nourrir ses compétences relationnelles. Mais chaque  fois les stagiaires demandent : " pourquoi n'enseignent -t-on pas cela à l'école ? " Peut être parce qu'un certain nombre de gens ne veulent pas apprendre ce qu'ils considèrent comme inné. Pour eux, la relation, c'est comme marcher ou respirer , ça ne s'éduque pas. Ils veulent rester " naturel" . L'intelligence des rapports sociaux ne serait-elle pas à mettre sur le même plan que les autres formes d'intelligence ?

     

    GRAMMAIRE DES EMOTIONS





        
     





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  • A travers les siècles, de nombreux écrivains très différents quant à leur situation personnelle, leurs croyances, leurs origines sociales et leur histoire sont parvenus à mettre  des mots sur des pensées profondes qui nous convainquent de certaines vérités et valeurs universelles..

    Voici quelques pensées sur le rapport de l'être humain avec la nature et la beauté

    TROIS CONDITIONS

     

                             Le but est de réussir une construction.

                             Pour cela, il y'a trois conditions :

                             Solidité, confort et bonheur

                                                                    HENRY WOTTON


    DESSIN :

    Je préfère le dessin à la conversation. Le dessin est plus rapide et laisse moins de place au mensonge........  LE CORBUSIER

    AMOUR DE LA TERRE :

    Nous maltraitons la terre car nous la considérons comme un bien nous appartenant. Lorsque nous l'envisagerons comme une communauté à laquelle nous appartenons, nous commencerons peut-être à l'aimer et à la respecter........ALDO LEOPOLD

    BELLE  REPONSE :

    J'ai interrogé la terre, la mer et ses profondeurs, les animaux et les choses rampantes.J'ai interrogé les vents qui soufflent., les cieux , le soleil, la lune, et tout ce qui se trouve à l'orée de ma chair ....

    Mon interrogation était le regard que je portais sur eux..

    Leur réponse fut leur beauté.............. SAINT AUGUSTIN

     

    RESPECT ENVERS TOUTE CHOSE .

    Il faut respecter les anciens,

    Chérir les jeunes et ne pas blesser

    les insectes, l'herbe ou les arbres....... KO HUNG

     

    NATURE

    Le meilleur remède pour ceux qui sont effrayés, seuls ou malheureux,

    est d'aller dans un endroit où ils peuvent être au calme, seuls avec les cieux,

    la nature,et Dieu...

    Seulement alors comprend-on que tout est comme il se doit et que Dieu souhaite voir son peuple heureux parmi la beauté simple de la nature.....ANNE FRANK..

    INTOXICATION

    L'été est la période ou l'on se défait de ses tensions comme de ses vêtements,

    et une journée parfaite offre alors un baume de choix à l'esprit meurtri.

    Quelques jours de cet acabit et vous parvenez à vous enivrer de la conviction que tout est pour le mieux sur la terre.  ADA LOUISE HUXTABLE

         


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  • A en juger par la quantité d'antidépresseurs, de tranquillisants et de neuroleptiques vendus chaque année, les personnes qui souffrent de problèmes psychiques semblent plus nombreuses que jamais.. Plus de cinq millions de Français en consomment quotidiennement. Si les médecins en prescrivent parfois trop facilement, c'est un palliatif dangereux quand il prend la place d'un véritable traitement ... Restent les psychothérapies. Mais leur diversité effraie....

    Depuis quelques décennies, les nouvelles thérapies se sont multipliées. On peut désormais en recenser des centaines.. Que cache cette variété ?  Comment s'y reconnaître entre psychothérapie analytique, comportementale et cognitive, sophrologie, psychanalyse freudienne, lacanienne ou jeugienne ?  

    Hypnose, thérapie analytique,thérapie familiale ou comportementale et cognitive.. Les thérapies foisonnent, longues ou brèves, sérieuses ou farfelues, innovante ou ultra classiques. L'esprit humain est si riche et si complexe que, pour le soigner, les méthodes prolifèrent. Le secteur est d'ailleurs lucratif et suscite la convoitise de toutes sortes de personnages prêts  à bricoler  n'importe quelle thérapie pour se faire une place au soleil .. Comment s'y retrouver.. Il existe de grands courants théoriques permettant de voir plus clair dans le paysage des thérapies.. Retracer les grandes évolutions qui ont abouti aux différentes méthodes  reste le meilleur moyen de s'y retrouver et de choisir la thérapie qui convient aux besoins et à la personnalité de chacun.

    A l'aube du XIXe siècle,celui qui soigne les maux de l'âme c'est le psychiatre. Pour cela, il traite le corps. La " folie" affirme t-on alors, trouve son origine dans des dysfonctionnements du cerveau. On évoque des problèmes "d'irrigation cérébrale" ..A l'époque, rares sont ceux qui s'intéressent aux origines affectives ou psychologiques des troubles mentaux,  et nul ne songe encore aux facteurs sociaux et culturels  capables de fragiliser l'équilibre psychique.. Pourtant avec le progrès des  connaissances, la notion de " maladie mentale" va progressivement remplacer celle de " folie" et ouvrir un nouvel espoir : guérir..  Une question capitale se dessine alors: quels sont les troubles qui relèvent d'un désordre purement psychique et ceux qui s'enracinent vraiment dans le cerveau?   La conception de la " folie" se complique en effet avec l'émergence en 1895 de  la théorie psychanalytique qui place l'origine des maux dans les couches profondes de l'esprit et dans les mésaventures du désir sexuel.. Cette théorie conçue par un certain Sigmund Freud, psychiatre et neurologue, divise la communauté scientifique.

    Freud affirme que le désir sexuel et les interdits orientent nos pensées à notre insu et structurent notre personnalité dès l'enfance..  Pour de nombreux psychiatres, l'esprit dépend de la matière, et non l'inverse..  A leurs yeux, c'est donc dans la matière cérébrale qu'il faut trouver les causes du mal..  L'idée freudienne de soigner le patient en s'adressant aux régions obscures de son esprit ( l'inconscient) est tout simplement révolutionnaire.. Mais Freud va plus loin,il montre que certaines maladies affectant les organes du corps peuvent être aussi soignées en dénouant des conflits psychiques..   Le père de la psychanalyse voit dans la mythologie grecque une véritable mise en scène des forces de l'inconscient.. Son opiniâtreté et la puissance de ses ouvrages  finiront par assurer le succès de ses théories....., ainsi naquit la psychanalyse.. D'une richesse exploratoire étonnante elle présente aussi le mérite de mobiliser le patient lui même comme facteur de traitement ..


    UN PSY... POURQUOI FAIRE ?


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  • LE ROMAN SOCIAL EN FRANCE

    Évoquer le roman social, c’est établir dans quelles conditions s’est faite l’entrée du peuple en général, et du monde du travail en particulier . La tendance s’amorce au XIXe siècle dans des œuvres encore teintées de romantisme, puis progressivement plus réalistes.
    Il faut toutefois attendre Emile Zola pour voir le monde ouvrier devenir un sujet littéraire et le roman entrer en politique en prenant la défense du prolétariat naissant. Plusieurs écrivains engagés issus du peuple prennent le relais. Le développement des revendications sociales et l’effroyable bilan humain de la guerre 14-18     alimentent  la littérature militante.

    Après la Seconde guerre mondiale, le monde du travail demeure au centre de la littérature engagée. Mais l’évolution économique dans la seconde moitié du XXe siècle, avec notamment la transformation de la classe ouvrière et l’apparition de nouveaux exclus , chômeurs et quart  monde, , modifie la donne du roman social. Ce dernier se fait «  noir «  et emprunte souvent la voie du roman policier pour dénoncer les dysfonctionnements d’une société en crise.

    LE PARADOXE DU ROMAN SOCIAL :

    Le roman est une œuvre de fiction, alors que les phénomènes sociaux renvoient à la réalité la plus concrète :  le «  social »   l’époque ou naît le genre littéraire du «  roman social » c’est  l’univers du prolétariat ouvrier naissant.

    C’est précisément cette association qui donne au genre toute sa force. Œuvre d’imagination, le roman permet de mettre  en scène la vie d’un nouveau personnage.

    L’homme du peuple, l’ouvrier, le prolétaire- évoluant dans un nouveau décor- l’usine, la mine, l’atelier, la rue. Le roman donne à son auteur toute liberté de décrire avec réalisme un monde en pleine transformation économique et sociale …

    En décrivant les mœurs, les conditions de vie, les aspirations du monde ouvrier, le roman social informe. Ce faisant, son auteur ne fait pas seulement œuvre de documentaliste. Ne se contentant pas de témoigner, il dénonce aussi les imperfections et les excès  d’une évolution de la société qui se fait souvent au détriment de ces nombreux figurant qui constituent le peuple.

    Il met en lumière  les nouveaux rapports de force entre les classes sociales  en cours de formation.

    L’ENTREE EN LITTÉRATURE DU MONDE DU TRAVAIL :

    En France c’est à partir de 1830 quo’apparaît la veine du roman social. Plusieurs auteurs situent leurs intrigues dans les milieux qui subissent de plein fouet la révolution industrielle, dans les villes, les ouvriers, dans les campagnes, les paysans sans terre

    -Des peintures encore teintées de romantisme :

    - Eugène Sue : publie en feuilleton «  les Mystères de Paris ». L’Oeuvre connaît aussitôt un immense succès. Les bourgeois découvrent avec une curiosité un peu malsaine, les «  barbares » qui vivent au milieu d’eux. De leur coté, les gens du peuple se reconnaissent dans cet ouvrage écrit pour eux. Sue y expose avec réalisme le problème fondamental de la ségrégation entre les classes supérieures  et les classes laborieuses. Le crime y est évoqué comme une conséquence de la misère, faisant apparaître les classes populaires comme des classes dangereuses.

    -George Sand se penche sur le monde des paysans dans la « Mare au diable ». A  l’expression des sentiments se mêle  dans ce roman l’affirmation de quelques revendications  sociales.

    -Dans Les misérables, Victor Hugo entraîne avec romantisme son lecteur dans une épopée figurant la marche du Mal  vers le Bien, de l’injustice vers la justice, dont l’ancien forçat Jean Val jean constitue la principale incarnation.

    -Honoré de Balzac  puise la matière de «  Comédie humaine » presque uniquement dans les villes. Il y dénonce les travers de la société libérale et bourgeoise issue de la révolution de 1830. La famille, le travail, l’argent et les relations qu’ils induisent sont au centre  de la plupart de ses romains. Le monde paysan n’apparaît dans son œuvre que pour montrer en quoi il est la proie de la petite bourgeoisie.

    -Adepte de l’art pour l’art, Gustave Flaubert n’en décrit pas moins  avec réalisme la société de son temps animé par le souci  obsédant de ne rien livrer qui n’ait été vérifié, contrôlé, vu de ses propres yeux. La bourgeoisie  et son étroitesse d’esprit  y sont décrites sans fard, que ce soit dans «  Madame Bovary «  ou dans  « Bouvard et Pécuchet ».

    Célèbre pour ses nouvelles, Guy de Maupassant est lui aussi habité par une colère rageuse contre les bourgeois, contre la guerre et contre la religion. Il exprime avec réalisme et pessimisme sa sympathie pour les petites gens et les misères humaines. Son roman «  une vie » décrit le calvaire d’une femme trompée et ruinée.

    Certains écrivains, parmi lesquels Emile Zola, pensent que le souci du document vrai et de l’objectivité du romancier ne suffit plus. La réalité économique dont-ils sont les témoins les scandalise. La façon dont l’industrie emploie des milliers de travailleurs sans droits dont l’exploitation n’a pas de limites, les conditions de vie réservées à ce prolétariat les incitent à réagir.

    Dans le Roman Expérimental, Emile Zola fixe les contours de la littérature qu’il entend défendre de la motté rature qu’il entend défendre et qui repose sur l’observation de la réalité  et le témoignage, afin de dénoncer le double déterminisme qui contribue à l’aliénation de l’individu.

    Épris de justice, Emile Zola s’engage dans «  l’affaire Dreyfus » du nom d’un officier juif injustement condamné aux travaux forcés à perpétuité pour espionnage. Publié dans «  L’ Aurore »  son article intitulé «  J’accuse » dans lequel il met en cause la hiérarchie militaire , fait scandale. Condamné, Zola doit se réfugier en Angleterre, mais son action n’est  pas étrangère à la grâce puis à la réhabilitation de Dreyfus.

    LA LITTÉRATURE ENGAGEE

    L’engagement des intellectuels  et notamment des écrivains contre le nazisme durant l’avant guerre et le second conflit mondial laisse la place dans la période suivante à une lutte politique entre les forces de gauche et celles de droite. Après la parenthèse de la guerre, les revendications sociales refont surface.

    Jean Paul Sartre écrit «  les chemins de la liberté «   - Pour lui, l’existence se fonde sur un combat moral entre la liberté et son  refus.  L’engagement aux côtés du peuple est un devoir.

    Engagé au côté du parti communiste, le poète et écrivain Aragon est l’auteur de plusieurs romans qui décrivent la réalité sociale et incitent le lecteur  à œuvre à l’vainement d’un monde moins inhumain…

    LE PHENOMENE SIMENON

    Le belge Georges Simenon est sans conteste un des plus fameux représentants contemporains du roman  social.  A Partir des années 30 cet auteur prolifique a rénové le style du roman policier en y introduisant notamment une forte dose de réalisme social.

    Georges Simenon a écrit quelque quatre cents romans qu’il a vendu à sept cent millions d’exemplaires à travers le monde. La série des «  Maigret » a été inaugurée en 1931 avec Pietr Le Letton.
    Chaque enquête de son célèbre commissaire Maigret est l’occasion de pénétrer une ville, une activité professionnelle, un milieu social. Une certaine forme de fatalité sociale est d’ailleurs souvent à l’œuvre dans ses romans. Le style inimitable de Georges Simenon , qui fut aussi grand reporter, fait de Jules Maigret un «  passeur » qui nous introduit de manière unique dans la fourmilière humaine …

     

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