Mes jeune gens ne travailleront jamais.
Les hommes qui travaillent ne peuvent rêver,
Et la sagesse nous vient par les rêves.
Vous me demandez de labourer la terre,
Dois je prendre un couteau
Et dechirer le sein de ma mère?
Alors q uand je mourrai, elle ne voudra pas
Me prendre dans son sein pour que je m'y repose .
Vous me demandez de creuser pour trouver la pierre.
Dois je creuser sous sa peau pour m'emparer de ses os ?
Mais quand je mourrai je ne pourrai plus
Entrer dans son corps pour renaître.
Vous me demandez de couper l'herbe,
D'en faire du foin, de le vendre
Pour être aussi riche que les hommes blancs
Mais comment oserai- je couper les cheveux de ma mère ?
Des vers d'une grande sagesse
Douce journée Sylvie
Bisous
timilo
Merci de ton commentaire Timilo… Tu as tout à fait raison, les amérindiens font preuve d'une grande sagesse, pourtant longtemps confrontés à l'esclavage et à la disparition d'une grande partie de leur population, pourchassés par tous … Une belle leçon pour nous
Bon we à toi !
Je ne sais pas si tu es comme moi, je revois mon blog d'Orange avec tous les commentaires amis, et j'ai une certaine nostalgie ...Je trouve que c'était plus chaleureux ..sur EKLA , assez froid et aucune affinité .
bisous