• Merci à tous de votre gentillesse , me voilà de retour , pas tout à fait guérie, mais en meilleure forme ...

    Quelque chose de léger en ce dimanche  printanier .... euh ...théoriquement printanier .....

    PLUS QUE PARFAIT ...

    Jamais disponible, toujours par monts et par vaux, la tête ailleurs ... Telle est l'image que vous donnez à vos enfants, votre mari -  ( femme)  - vos amis - et c'est  la litanie des " mea culpa"  -  stop ! Tordez le cou aux critères... Cessez de décerner la médaille à l'entourage: papa poule, maman cool, femme idéale, mamie gateau, amant de rêve .....etc ..

    Faire ce qu'on peut, il n'y a rien de mieux pour être heureux....

                                                        Le vrai bonheur ne dépend d'aucun être
                                                        d'aucun objet extérieur,
                                                        Il ne dépend que de nous....
                                                        DALAI LAMA


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  • pas d'article ce soir ... un peu H.S.   

    Bonne journée de Jeudi !

    BONJOUR .pas la forme.

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  • LE CHEMIN DES MOTS

    Il était une fois une petite fille qui ne trouvait jamais les mots pour dire ce qu'elle ressentait.  Chaque fois qu'elle tentait de s'exprimer, de traduire ce qui se passait à l'intérieur d'elle, elle éprouvait une sorte de vide.  Les mots semblaient courir plus vite que sa pensée.  Ils avaient l'air de se bousculer dans sa bouche mais n'arrivaient pas à se mettre ensemble pour faire une phrase.  Dans ces moments-là, elle devenait agressive, violente, presque méchante.  Et des phrases toutes faites, coupantes, cinglantes sortaient de sa bouche.  Elles lui servaient uniquement à couper la relation qui aurait pu commencer.  De toute façon tu peux pas comprendre.  Ca sert à rien de dire.  C'est des bêtises de croire qu'il faut tout dire!

    D'autres fois, elle préférait s'enfermer dans le silence, avec ce sentiment douloureux.  Que de toute façon personne ne pouvait savoir ce qu'elle ressentait, qu'elle n'y arriverait jamais.  Que les mots ne sont que des mots.  Mais tout au fond d'elle-même, elle était malheureuse, désespérée, vivant une véritable torture à chaque tentative de partage.  Un jour, elle entendit un poète qui disait à la radio que "Il y a chez tout être humain un chemin des mots qu'il appartient à chacun de trouver."  Et, dès le lendemain, la petite fille décida de partir sur le chemin des mots qui était à l'intérieur d'elle.

    La première fois où elle s'aventura sur le chemin des mots, elle ne vit rien.  Seulement des cailloux, des ronces, des branchages, des orties, et quelques fleurs piquantes.  Les mots du chemin des mots semblaient se cacher, paraissaient la fuir.  La seconde fois où elle chemina sur le chemin des mots, le premier mot qu'elle vit sur la pente d'un talus fut le mot OSER.  Quand elle s'approcha, ce mot osa lui parler.  Il dit d'une voix exténuée: "Veux-tu me pousser un peu plus haut sur le talus?"  Elle lui répondit: "Je crois que je vais te prendre avec moi et que je vais t'emmener très loin dans ma vie."

    Une autre fois, elle découvrit que les mots étaient comme des signes sur le bord de ce chemin et que chacun avaient une forme différente et un sens particulier.  Le deuxième mot qu'elle rencontra fut le mot VIE.  Elle le ramassa, le mit contre son oreille.  Tout d'abord, elle entendit rien.  Mais en retenant sa respiration, elle perçut comme un petit chuchotement: "Je suis en toi, je suis en toi" et plus bas encore: "Prend soin de moi."  Mais là, elle ne fut pas très sure d'avoir bien entendu.

    Un peu plus loin sur le chemin des mots, elle trouva un petit mot tout seul, recroquevillé sur lui-même, tout frileux comme s'il avait froid.  Il avait vraiment l'air malheureux ce mot-là.  Elle le ramassa, le réchauffa un peu, l'approcha de son coeur et entendit un grand silence.  Elle le caressa et lui dit: "Comment tu t'appelles-toi?"  Et le petit mot qu'elle avait ramassé lui dit d'une voix nouée: "Moi, je suis le mot SEUL.  Je suis vraiment tout seul.  Je suis perdu, personne ne s'intéresse à moi, ni ne s'occupe de moi."  Elle serra le petit mot contre elle, l'embrassa doucement et poursuivit sa route.

    Près d'un fossé sur le chemin des mots, elle vit un mot à genoux, les bras tendus.  Elle s'arrêta, le regarda et c'est le mot qui s'adressa à elle: "Je m'appelle TOI", lui dit-il.  "Je suis un mot très ancien mais difficile à rencontrer car il faut me différencier sans arrêt des autres."  La petite fille le prit en disant: "J'ai envie de t'adopter, toi, tu seras un bon compagnon pour moi."

    Sur le chemin des mots elle rencontra d'autres mots qu'elle laissa à leur place.  Elle chercha un mot tout joyeux, tout vivant.  Un mot qui puisse scintiller dans la nuit de ses errances et de ses silences.  Elle le trouva au creux d'une petite clairière.  Il était allongé de tout son long, paraissait détendu les yeux grands ouverts.  Il avait l'air d'un mot tout à fait heureux d'être la.  Elle s'approcha de lui, lui sourit et dit: "C'est vraiment toi que je cherchait, je suis ravie de t'avoir trouvé. Veux-tu venir avec moi ?"  Il répondit: "Bien sûr, moi aussi je t'attendais..."  Ce mot qu'elle avait trouvé était le mot VIVRA.

    Quand elle rassembla tous les mots qu'elle avait recueillis sur le chemin des mots, elle découvrit avec stupéfaction qu'ils pouvaient faire la phrase suivante: Ose ta vie, toi seule la vivras, elle répéta plus lentement: "Ose ta vie, toi seule la vivras."

    Depuis ce jour, la petite fille prit l'habitude d'aller se promener sur le chemin des mots.  Elle fit ainsi des découvertes étonnantes, et ceux qui la connaissent furent très surpris d'entendre tout ce que cette petite fille avait à l'intérieur d'elle.  Ils furent étonnés de toute la richesse qu'il y avait dans une petite fille très silencieuse.

    Ainsi ce termine le conte de la petite fille qui ne trouvait jamais les mots pour se dire.

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  • Une semaine qui s'achève.... ,

    Un we qui débute .....

    Bon we    et  à  lundi !   


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  • TEXTE ..POURQUOI TU PELURES.....

    "Pourquoi tu pleures?" Demande un jeune garçon à sa mère.
    "Parce que je suis une femme!" lui dit-elle.

    "Je ne comprends pas!" dit-il.
    Sa maman le serra dans ses bras et lui dit:
    "et tu ne comprendras jamais, mais c'est correct!" ...

    Plus tard le petit garçon demanda à son père:
    "Pourquoi est-ce que maman semble pleurer sans raisons?"

    "Toutes les femmes pleurent sans raison...!" fut tout ce que put répondre papa.

    Plus tard le petit garçon grandit et devint un homme, se demandant toujours pourquoi les femmes pleuraient. Finalement il se décida à appeler Dieu et lorsque Dieu lui répondit, il Lui demanda: "Dieu, pourquoi est-ce que les femmes pleurent aussi facilement?"

    Dieu répondit:

    "Lorsque j'ai fait la femme, j'ai décidé qu'elle devait être très spéciale, J'ai fait ses épaules assez fortes pour porter le poids de l'humanité, tout en faisant ses bras délicats et doux pour réconforter... Je lui ai donné une force intérieure pour être capable de passer à travers l'accouchement et le rejet qui souvent vient de ses propres enfants. Je lui ai donné une solidité qui lui permet de continuer et prendre soin de sa famille et ses amis, même lorsque tous les autres abandonnent, que ce soit à travers la maladie ou la fatigue, sans jamais se plaindre.

    Je lui ai donné la sensibilité d'aimer ses enfants quelles que soient les circonstances. Même lorsque son enfant lui a fait beaucoup de mal... Elle a le pouvoir spécial de faire partir les bobos d'un enfant, et de soulager les insécurités et les peurs d'un adolescent... Je lui ai donné la force de prendre soin de son mari, en dépit de ses fautes, et l'ai faite à partir de son côté, afin de protéger son coeur... Je lui ai donné de la sagesse de savoir qu'un bon mari ne fait jamais de mal a son épouse, mais parfois éprouve sa force et sa résolution de se tenir près de lui sans faute.

    Pour tout ce travail difficile, je lui aussi donné une larme a verser. Qu'elle peut utiliser au besoin, et qui est sa seule faiblesse... Lorsque tu la vois pleurer, dis-lui combien tu l'aime, ainsi que tout ce qu'elle fait pour tout le monde, et même si elle continue de pleurer, tu lui auras fait chaud au coeur... Elle est spéciale!"


    J'ai trouvé ce texte en me promenant sur le net, je l'ai trouvé superbe !!

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